Pourquoi le #Hamas a-t-il si peur de manquer de fuel dans #Gaza ? Ce groupe terroriste a créé une ville entière sous terre, avec 1300 tunnels ramifiés en labyrinthes, à 70 mètres de profondeur, et d'une longueur de 500 km. Chaque tunnel mesure deux mètres de haut et deux mètres de large, et ils sont tous faits de béton que le monde occidental a donné pour les écoles, les hôpitaux, les jardins d'enfants. Dans ces tunnels se terrent les commandants et trente mille terroristes du Hamas. Et l'air y arrive par un système de ventilation qui utilise des moteurs alimentés au fuel : c'est leur seule source d'oxygène sous terre. Pas de carburant ? Pas d’air. Et s’il n’y a pas d’air, ils doivent sortir des tunnels pour respirer. Et s'ils sortent de leurs tunnels, ils sont repérables par #Tsahal. C'est aussi simple que cela

Il n’y a pas de bonheur ni de malheur dans ce monde, ce qui est juste la comparaison d’une situation avec une autre, c’est tout. Seul celui qui a connu le malheur extrême peut goûter le bonheur extrême. Seul celui qui a fait la volonté de mourir, Maximilien, saura à quel point il est bon de vivre

Oh, je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis
En ce temps-là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Tu vois, je n'ai pas oublié
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du Nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais
C'est une chanson qui nous ressemble
Toi tu m'aimais, et je t'aimais
Nous vivions tous les deux ensemble
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis
La, la, la, la
La, la, la, la
La, la, la, la
La, la, la, la
La, la, la, la
La, la, la, la
La, la, la, la
La, la, la, la
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis
Yves Montand《les feuilles mortes》