助眠疗愈307: 融入痛苦的中心助眠和疗愈
有些人失眠是因为身体的某些部位疼痛或者酸胀难忍,如何减少这种不适让自己尽快入睡呢?有一位哲人建议采用一种观照加融入的方法来减轻痛苦:
首先你觉察疼痛的精确部位,不加评判地静静地感觉它、观察它,然后把自己完全融入痛苦,融入到痛苦的中心,就像你遭遇台风时,你首先观察台风的走向,然后进入到台风眼,也就是台风的中心,在这里狂风消失了,你反而会感到平静。
Aide au sommeil 307: intégrer le Centre de la douleur aide au sommeil et guérison
Certaines personnes souffrent d'insomnie en raison de douleurs ou de ballonnements acides dans certaines parties du corps, comment réduire cet inconfort pour s'endormir le plus rapidement possible? Il y a un philosophe qui suggère une approche de visualisation plus intégration pour soulager la douleur:
Tout d’abord, vous percevez le site précis de la douleur, vous la ressentez silencieusement, vous l’observez sans jugement, puis vous vous Intégrez complètement dans la douleur, dans le Centre de la douleur, comme si vous étiez dans un typhon, vous observez d’abord la direction du typhon, puis vous entrez dans l’œil du typhon, c’est - à - dire le Centre du typhon, où les vents violents disparaissent et vous vous sentez au contraire en paix.
有些人失眠是因为身体的某些部位疼痛或者酸胀难忍,如何减少这种不适让自己尽快入睡呢?有一位哲人建议采用一种观照加融入的方法来减轻痛苦:
首先你觉察疼痛的精确部位,不加评判地静静地感觉它、观察它,然后把自己完全融入痛苦,融入到痛苦的中心,就像你遭遇台风时,你首先观察台风的走向,然后进入到台风眼,也就是台风的中心,在这里狂风消失了,你反而会感到平静。
Aide au sommeil 307: intégrer le Centre de la douleur aide au sommeil et guérison
Certaines personnes souffrent d'insomnie en raison de douleurs ou de ballonnements acides dans certaines parties du corps, comment réduire cet inconfort pour s'endormir le plus rapidement possible? Il y a un philosophe qui suggère une approche de visualisation plus intégration pour soulager la douleur:
Tout d’abord, vous percevez le site précis de la douleur, vous la ressentez silencieusement, vous l’observez sans jugement, puis vous vous Intégrez complètement dans la douleur, dans le Centre de la douleur, comme si vous étiez dans un typhon, vous observez d’abord la direction du typhon, puis vous entrez dans l’œil du typhon, c’est - à - dire le Centre du typhon, où les vents violents disparaissent et vous vous sentez au contraire en paix.
On assiste à une résurgence d’un esprit romantique datant du XIXe siècle.
Les femmes s’emparent de la tristesse, un sentiment qui leur était quasiment interdit.
C’est une émancipation pour la femme de pouvoir s’approprier et de s’exprimer sur le côté tragique de la vie et de la société, un côté sauvage, rebelle, qui a longtemps été cantonné aux hommes.
Les femmes s’emparent de la tristesse, un sentiment qui leur était quasiment interdit.
C’est une émancipation pour la femme de pouvoir s’approprier et de s’exprimer sur le côté tragique de la vie et de la société, un côté sauvage, rebelle, qui a longtemps été cantonné aux hommes.
【Toujours pour la première fois】
Toujours pour la première fois
C’est à peine si je te connais de vue
Tu rentres à telle heure de la nuit
dans une maison oblique à ma fenêtre
Maison tout imaginaire
C’est là que d’une seconde à l’autre
Dans le noir intact
Je m’attends à ce que se produise
une fois de plus la déchirure fascinante
La déchirure unique
De la façade et de mon cœur
Plus je m’approche de toi
En réalité
Plus la clé chante à la porte de la chambre inconnue
Où tu m’apparais seule
Tu es d’abord tout entière fondue dans le brillant
L’angle fugitif d’un rideau
C’est un champ de jasmin que j’ai contemplé à l’aube sur une route des environs de Grasse
Avec ses cueilleuses en diagonale
Derrière elles l’aile sombre tombante des plants dégarnis
Devant elles l’équerre de l’éblouissant
Le rideau invisiblement soulevé
Rentrent en tumulte toutes les fleurs
C’est toi aux prises avec
cette heure trop longue jamais
assez trouble jusqu’au sommeil
Toi comme si tu pouvais être
La même à cela près que
je ne te rencontrerai peut-être jamais
Tu fais semblant de ne pas savoir que je t’observe
Merveilleusement je ne suis plus sûr que tu le sais
Ton désœuvrement m’emplit les yeux de larmes
Une nuée d’interprétations entoure
chacun de tes gestes
C’est une chasse à la miellée
Il y a des rocking-chairs
sur un pont il y a des branchages
qui risquent de t’égratigner dans la forêt
Il y a dans une vitrine
rue Notre-Dame-de-Lorette
Deux belles jambes croisées prises dans de hauts bas Qui s'évasent au centre d’un grand trèfle blanc
Il y a une échelle de soie déroulée sur le lierre
Il y a
Qu’à me pencher sur le précipice
et de ton absence
J’ai trouvé le secret
De t’aimer
Toujours pour la première fois
André Breton
Toujours pour la première fois
C’est à peine si je te connais de vue
Tu rentres à telle heure de la nuit
dans une maison oblique à ma fenêtre
Maison tout imaginaire
C’est là que d’une seconde à l’autre
Dans le noir intact
Je m’attends à ce que se produise
une fois de plus la déchirure fascinante
La déchirure unique
De la façade et de mon cœur
Plus je m’approche de toi
En réalité
Plus la clé chante à la porte de la chambre inconnue
Où tu m’apparais seule
Tu es d’abord tout entière fondue dans le brillant
L’angle fugitif d’un rideau
C’est un champ de jasmin que j’ai contemplé à l’aube sur une route des environs de Grasse
Avec ses cueilleuses en diagonale
Derrière elles l’aile sombre tombante des plants dégarnis
Devant elles l’équerre de l’éblouissant
Le rideau invisiblement soulevé
Rentrent en tumulte toutes les fleurs
C’est toi aux prises avec
cette heure trop longue jamais
assez trouble jusqu’au sommeil
Toi comme si tu pouvais être
La même à cela près que
je ne te rencontrerai peut-être jamais
Tu fais semblant de ne pas savoir que je t’observe
Merveilleusement je ne suis plus sûr que tu le sais
Ton désœuvrement m’emplit les yeux de larmes
Une nuée d’interprétations entoure
chacun de tes gestes
C’est une chasse à la miellée
Il y a des rocking-chairs
sur un pont il y a des branchages
qui risquent de t’égratigner dans la forêt
Il y a dans une vitrine
rue Notre-Dame-de-Lorette
Deux belles jambes croisées prises dans de hauts bas Qui s'évasent au centre d’un grand trèfle blanc
Il y a une échelle de soie déroulée sur le lierre
Il y a
Qu’à me pencher sur le précipice
et de ton absence
J’ai trouvé le secret
De t’aimer
Toujours pour la première fois
André Breton
✋热门推荐