#Beijing2022#【国际奥委会主席巴赫:期待北京冬奥会安全成功举办、祝福总台员工虎虎生机】在北京冬奥会和中国虎年春节来临之际,国际奥委会主席托马斯·巴赫给中央广播电视总台台长兼总编辑慎海雄发来贺函,感谢总台对奥林匹克运动的支持,期待北京冬奥会安全成功举办,并祝福总台全体员工虎年虎虎生机!A l'approche des Jeux olympiques d'hiver de Beijing 2022, le président du Comité international olympique Thomas Bach a envoyé une lettre de félicitations à Shen Haixiong, le président de China Media Group. Bach a remercié CMG pour son soutien aux Jeux olympiques et a exprimé l'espoir de travailler ensemble pour le succès des Jeux 2022. Il a également transmis ses vœux avant le nouvel an chinois qui tombe le 1er février. Dans sa réponse, Shen Haixiong a déclaré qu'avec le soutien du CIO, China Media Group était pleinement préparé à présenter de superbes jeux depuis Beijing. 完整版视频 : https://t.cn/A6JtdM0x
#角力#
Cortège
En tête la lime qui passe le temps au sentier noir. Les ailes d'anges. L'air vague des yeux morts suit le cortège. Et les passants regardent ce passager lointain que les rayons emportent vers la fin.
La tristesse suivait penchée sur deux visages et le temps était doux. Les rues semblaient dormir, on allait au village qui s'éloignait de nous. Le cimetière au coin du val dans la civière. Et le calme du ciel épuisait le courage qui soutenait nos mains, la tête et le chemin.
Champ clos
Il y a sur la chambre vide une auréole. Les plantes qui bordent les franges du toit jusqu’aux racines et même les feuilles blondes apportent l’ombre.
Le quatrième mur va plus loin. Plus loin que l’angle où le rideau soupire. Plus haut que la nuit noire et la fumée mouvante de l’usine. On chante à côté de la chambre vide, contre le toit, près de l’étoile.
Il y a une auréole qui n’est pas la lune, une lumière qui n’est pas la lampe. Mais un carré noir sur la terre sombre.
Et ce carré, la chambre vide.
La lutte des mots
La tourmente s'est égarée dans la lumière qui dépasse le toit. A midi, sans soleil. Les murs sont pleins de neiges,sur un fond gris. L'œil s'arrête et cherche en vain une meilleure trace.
On a effacé les dessins qui animaient les parois descendantes. Quelques paroles s'élèvent affirmativement. Et le flot, trop haut, entraîne le bord où les herbes lissent la rive en cheveux bien peignés. Et tandis qu'à travers les rayons bleutés, les éclats tourbillonnent et s'élèvent, le silence tombe lourdement sur le sol sans se briser.
La parole
Si la lumière s’éteint, tu restes seul devant la nuit. Et ce sont tes yeux ouverts qui t’éclairent.
Du jardin, montent des bruits que tu n’écoutes pas. De la rouille des feuilles et des branches, l’eau court jusqu’au matin, et elle change de voix. Et, tout à coup, tu penses au portrait blanc qu’encadre la fenêtre. Mais personne ne passe et ne regarde. Et pas même le vent ne vient troubler les arbres, animer cette immobilité et ce silence où ton esprit blessé se relève et tournoie.
Cortège
En tête la lime qui passe le temps au sentier noir. Les ailes d'anges. L'air vague des yeux morts suit le cortège. Et les passants regardent ce passager lointain que les rayons emportent vers la fin.
La tristesse suivait penchée sur deux visages et le temps était doux. Les rues semblaient dormir, on allait au village qui s'éloignait de nous. Le cimetière au coin du val dans la civière. Et le calme du ciel épuisait le courage qui soutenait nos mains, la tête et le chemin.
Champ clos
Il y a sur la chambre vide une auréole. Les plantes qui bordent les franges du toit jusqu’aux racines et même les feuilles blondes apportent l’ombre.
Le quatrième mur va plus loin. Plus loin que l’angle où le rideau soupire. Plus haut que la nuit noire et la fumée mouvante de l’usine. On chante à côté de la chambre vide, contre le toit, près de l’étoile.
Il y a une auréole qui n’est pas la lune, une lumière qui n’est pas la lampe. Mais un carré noir sur la terre sombre.
Et ce carré, la chambre vide.
La lutte des mots
La tourmente s'est égarée dans la lumière qui dépasse le toit. A midi, sans soleil. Les murs sont pleins de neiges,sur un fond gris. L'œil s'arrête et cherche en vain une meilleure trace.
On a effacé les dessins qui animaient les parois descendantes. Quelques paroles s'élèvent affirmativement. Et le flot, trop haut, entraîne le bord où les herbes lissent la rive en cheveux bien peignés. Et tandis qu'à travers les rayons bleutés, les éclats tourbillonnent et s'élèvent, le silence tombe lourdement sur le sol sans se briser.
La parole
Si la lumière s’éteint, tu restes seul devant la nuit. Et ce sont tes yeux ouverts qui t’éclairent.
Du jardin, montent des bruits que tu n’écoutes pas. De la rouille des feuilles et des branches, l’eau court jusqu’au matin, et elle change de voix. Et, tout à coup, tu penses au portrait blanc qu’encadre la fenêtre. Mais personne ne passe et ne regarde. Et pas même le vent ne vient troubler les arbres, animer cette immobilité et ce silence où ton esprit blessé se relève et tournoie.
【译本对比】 《悲惨世界》维克多·雨果Fantine fut donc enterrée dans le coin gratis du cimetière qui est à tous et à personne, et où l’on perd les pauvres. Heureusement Dieu sait où retrouver l’âme. On coucha Fantine dans les ténèbres parmi les premiers os venus ; elle subit la promiscuité des cendres. Elle fut jetée à la fosse publique. Sa tombe ressembla à son lit.
Les Misérables - Tome I
Fantine: Livre Huitième
Contre-coup
Victor Hugo
译文如图:
Les Misérables - Tome I
Fantine: Livre Huitième
Contre-coup
Victor Hugo
译文如图:
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