【全国妇联、教育部等11部门印发《关于指导推进家庭教育的五年规划(2021—2025年)》】全国妇联、教育部等11个部门近日印发《关于指导推进家庭教育的五年规划 (2021—2025 年)》,把构建覆盖城乡的家庭教育指导服务体系、健全学校家庭社会协同育人机制、促进儿童健康成长确立为今后一个时期家庭教育发展的根本目标,推动“十四五”时期家庭教育高质量发展。Un plan quinquennal sur l'orientation et le développement de l'éducation familiale a été publié par onze organismes, dont le Ministère de l'éducation et la Fédération nationale des femmes de Chine. L'objectif ultime est de construire un système d'orientation pour l'éducation familiale qui desserve à la fois les zones urbaines et rurales. Il s'agit aussi d'améliorer le mécanisme d'éducation coopérative école-famille-communauté et de veiller à ce que les enfants puissent grandir en bonne santé, selon le plan.
【外交部:美方应立即取缔遍布世界各地的“黑监狱”】2022年4月8日外交部发言人赵立坚主持例行记者会。赵立坚说,美国遍布全球的“黑监狱”是美国肆意蹂躏法治、践踏人权的典型例证,美方应立即取缔这些“黑监狱”,切实反省自身罪行。赵立坚表示,美国中情局打着所谓“反恐战争”的幌子,在多国设立“黑监狱”,秘密拘押所谓恐怖嫌疑人,大搞任意拘押和刑讯逼供,招致国际社会广泛批评。臭名昭著的关塔那摩监狱、阿富汗巴格拉姆监狱、伊拉克阿布格里卜监狱不断被曝出虐囚丑闻,水刑、睡眠剥夺等各种“强化审讯手段”残忍至极,令人发指。#美国# #黑监狱# La Chine a fustigé vendredi les États-Unis pour la maltraitance de prisonniers sur les "sites noirs", qualifiant leurs "techniques d'interrogatoire renforcées" de brutales et effroyables.
L'Agence centrale de renseignement (CIA) des États-Unis a établi ces sites noirs dans plusieurs pays sous le prétexte de la "guerre contre le terrorisme". Des terroristes présumés sont secrètement placés en détention arbitraire, et leurs aveux sont extraits sous la torture. Cette pratique a suscité des critiques généralisées de la communauté internationale, a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, lors d'une conférence de presse régulière.
Le journal britannique The Guardian a rapporté récemment en citant un rapport déclassifié que dans un site de détention secret de la CIA en Afghanistan, un prionnier était utilisé comme outil d'enseignement pour les interrogateurs en formation. Ces derniers faisaient la queue et se relayaient pour lui cogner la tête contre un mur en contreplaqué et l'arroser d'eau glacée. La torture l'a dévasté physiquement et mentalement.
"La tristement célèbre baie de Guantanamo, la prison de Bagram en Afghanistan et la prison d'Abou Ghraib en Irak sont en proie à des scandales de maltraitance des prisonniers, avec l'utilisation de "techniques d'interrogatoire renforcées" brutales et effrayantes, comme la torture par l'eau et la privation de sommeil, selon M. Zhao.
Il a qualifié ces sites noirs d'"exemples types de la manière dont les États-Unis foulent au pied l'état de droit et les droits de l'homme". Le rapport du projet "Coûts de la guerre" de l'Institut Watson pour les affaires internationales et publiques de l'Université Brown, publié début 2022, note que, après les attentats du 11 septembre, les États-Unis ont mis en place un système de sites noirs dans au moins 54 pays et régions à travers le monde. Plus de 100.000 personnes sont détenues sur ces sites, dont des musulmans, des femmes et des enfants. Les contribuables américains dépensent 540 millions de dollars chaque année juste pour détenir des prisonniers à Guantanamo.
"Toutefois, aucun officiel américain n'a été tenu responsable pour avoir conçu, autorisé ou mis en place le programme de détention secrète et de torture", a noté M. Zhao.
Selon lui, le gouvernement américain est allé même plus loin pour couvrir et nier ses crimes contre les droits de l'homme et ses violations des droits de l'homme. En 2020, après que la procureure en chef de la Cour pénale internationale (CPI) a noté que les forces américaines et la CIA avaient commis des crimes de guerre avec la maltraitance de prisonniers en Afghanistan, les États-Unis ont imposé des sanctions et des restrictions de visa visant plusieurs officiels, dont la procureure.
En 2021, après que le Comité des Nations unies contre la torture a indiqué que la torture était endémique sur les sites noirs de la CIA, le gouvernement américain a refusé de divulguer les informations pertinentes, citant des questions de confidentialité.
"Les faits sont plus éloquents que les mots", a indiqué M. Zhao, notant que les sites noirs américains dans le monde illustraient pleinement que les États-Unis n'avaient pas le droit de pointer du doigt un pays au nom de la démocratie ou des droits de l'homme.
"Ce que doivent faire les États-Unis, c'est abolir immédiatement leurs sites noirs à travers le monde, réfléchir sincèrement à leurs crimes, présenter des excuses aux victimes et les indemniser et tenir pour responsables les personnes ayant autorisé et pratiqué la torture", a déclaré M. Zhao.
L'Agence centrale de renseignement (CIA) des États-Unis a établi ces sites noirs dans plusieurs pays sous le prétexte de la "guerre contre le terrorisme". Des terroristes présumés sont secrètement placés en détention arbitraire, et leurs aveux sont extraits sous la torture. Cette pratique a suscité des critiques généralisées de la communauté internationale, a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, lors d'une conférence de presse régulière.
Le journal britannique The Guardian a rapporté récemment en citant un rapport déclassifié que dans un site de détention secret de la CIA en Afghanistan, un prionnier était utilisé comme outil d'enseignement pour les interrogateurs en formation. Ces derniers faisaient la queue et se relayaient pour lui cogner la tête contre un mur en contreplaqué et l'arroser d'eau glacée. La torture l'a dévasté physiquement et mentalement.
"La tristement célèbre baie de Guantanamo, la prison de Bagram en Afghanistan et la prison d'Abou Ghraib en Irak sont en proie à des scandales de maltraitance des prisonniers, avec l'utilisation de "techniques d'interrogatoire renforcées" brutales et effrayantes, comme la torture par l'eau et la privation de sommeil, selon M. Zhao.
Il a qualifié ces sites noirs d'"exemples types de la manière dont les États-Unis foulent au pied l'état de droit et les droits de l'homme". Le rapport du projet "Coûts de la guerre" de l'Institut Watson pour les affaires internationales et publiques de l'Université Brown, publié début 2022, note que, après les attentats du 11 septembre, les États-Unis ont mis en place un système de sites noirs dans au moins 54 pays et régions à travers le monde. Plus de 100.000 personnes sont détenues sur ces sites, dont des musulmans, des femmes et des enfants. Les contribuables américains dépensent 540 millions de dollars chaque année juste pour détenir des prisonniers à Guantanamo.
"Toutefois, aucun officiel américain n'a été tenu responsable pour avoir conçu, autorisé ou mis en place le programme de détention secrète et de torture", a noté M. Zhao.
Selon lui, le gouvernement américain est allé même plus loin pour couvrir et nier ses crimes contre les droits de l'homme et ses violations des droits de l'homme. En 2020, après que la procureure en chef de la Cour pénale internationale (CPI) a noté que les forces américaines et la CIA avaient commis des crimes de guerre avec la maltraitance de prisonniers en Afghanistan, les États-Unis ont imposé des sanctions et des restrictions de visa visant plusieurs officiels, dont la procureure.
En 2021, après que le Comité des Nations unies contre la torture a indiqué que la torture était endémique sur les sites noirs de la CIA, le gouvernement américain a refusé de divulguer les informations pertinentes, citant des questions de confidentialité.
"Les faits sont plus éloquents que les mots", a indiqué M. Zhao, notant que les sites noirs américains dans le monde illustraient pleinement que les États-Unis n'avaient pas le droit de pointer du doigt un pays au nom de la démocratie ou des droits de l'homme.
"Ce que doivent faire les États-Unis, c'est abolir immédiatement leurs sites noirs à travers le monde, réfléchir sincèrement à leurs crimes, présenter des excuses aux victimes et les indemniser et tenir pour responsables les personnes ayant autorisé et pratiqué la torture", a déclaré M. Zhao.
【#TopCGTN# 美国芝加哥动物园迎来小豪猪 护理人员不分昼夜细心照料[抱一抱]】La Chicago Zoological Society a accueilli un nouveau membre : un bébé porc-épic. Le personnel des soins aux animaux s'occupe de lui directement après qu'il a été observé que la mère du porc-épic, Lucia, 9 ans, ne fournissait pas à sa progéniture les soins maternels appropriés. Une fois le jeune porc-épic sevré, le personnel commencera à lui proposer un régime composé de légumes variés. Les porcs-épics à queue préhensile vivent dans une grande partie de l'Amérique du Sud et dans les forêts tropicales humides de haute altitude.
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